Wiki Parodies et Fanfictions
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Coucou ! Linh Weasley et moi (la licorne qui aimait lire) on vous propose notre fanfic "La rébellion prend forme !". Elle racontera la création du Cygne Noir.

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Note :[]

Pour cette histoire, Linh Weasley jouera Spectre, Brume (on leur a créé des identités mais ce ne sont pas les vraies !) et Livvy. Je jouerai (la licorne qui aimait lire) Forkle, Tiergan et Juline.

On espère que cette histoire va vous plaire ! Bonne lecture !

Petite note de Linh Weasley : je le répète les identités de Spectre et Brume sont totalement inventées !!! Je commence donc par une petite présentation de mes persos. Brume s’appellera Samuel (que j'appellerais de temps en temps Sam) et Spectre Éric. J'ai mis 3 heures à trouver ces prénoms !

Chapitre 1 :[]

Je te laisse la plume Linh ! (J'ai eu la flemme de faire le prologue...)

Salut à tous ! et c'est parti pour le chapitre 1 !!!

Linh Weasley

PDV Samuel (Brume)

Samuel détestait le Magnat Leto. Il en avait marre de son impassibilité d'apparence. Il ne pouvait pas crier un peu une fois de temps en temps ! Au moins il y avait lady Smally, sa Mentor Flasheuse, qui elle pouvait s'énerver. Et elle s'énervait souvent contre le conseil. Samuel aussi d'ailleurs. Il détestait le Conseil. Le Conseil prenait les décisions sur votre vie alors que cela ne les concernait pas ! C'était sa vie, pas la leur ! Les Entremetteurs l'énervaient aussi, pour les mêmes raisons d'ailleurs...

Aujourd'hui, il se rendait à son cours de Flasheur, dans la tour d'Or,quand il vit une fille avec à la main un papier portant le sceau des Entremetteurs elle leva la tête pour le regarder lorsqu'il passa. Il vit que sur la liste de la fille était inscrit ... son nom ! Et là il ne put se retenir de lui crier beaucoup de choses qu'il vaudrait mieux ne pas répéter sur les Entremetteurs. Par malchance le Magnat Leto passait par là. Il prit Samuel par la main et sans se départir de son calme (pour changer) l'emmena dans son bureau;Le Magnat Leto posa les coudes sur son bureau et sa tête sur ses mains, puis il déclara :

-Samuel, je v...

-Pas besoin de vous fatiguer à parler, je sais que vous allez me punir. L'interrompit-il.

-Justement non, je voulais vous poser une question.

Alors là Sam était surpris il était persuadé d'être puni et voilà que le Magnat Leto lui disait que non, justement. Sam était perdu.

-Voudrais-tu rejoindre notre ordre ? Lui demanda le Magnat Leto.

-Quel ordre ? demanda Sam, méfiant.

-Le Cygne noir.

PDV Éric (Spectre) un autre jour

Arrgh ! Le Conseil avait fait une annonce publique hier. Pour dire quoi ? Rien. Le Conseil faisait souvent ds apparitions comme celle-ci : pour ne rien dire. Éric en avait marre du Conseil il répétait toujours la même chose. Son Mentor Eclipseur, Lord Visci, était du côté du Conseil en chantant ses louanges. Éric ne supportait plus de l'entendre rabâcher "Le Conseil ceci" "Le Conseil cela" ! Arrgghh que c'était énervant !!! Un jour, en entrant dans la tour d'Argent il marmonnait contre le Conseil et, oh malchance ! Le Magnat Leto était là ! Heureusement pour lui, il ne sembla pas entendre ses ruminations. Il semblait attendre quelqu'un. Éric passa devant lui, non sans écouter les marmonnements qui commençait tous par "les gamins".Éric failli crier quand le Magnat Leto l'attrapa par le bras pour lui dire :

-17 h 30.Dans mon bureau. aucun retard ne sera accepté.

Éric n'écouta rien du cours qui suivit. Il imaginait pleins de scénarios délirants sur le thème "pourquoi Leto veut me voir". Lorsque vint l'heure du rendez-vous Éric toqua à la porte de Leto. (Dont le bureau était au dernier étage ce qui avait bien saoulé Éric).

-Entrez. fit la voix grave de Leto. Puis il poursuivit :

-Ah Éric ! Tu es là ! Mais prend donc une chaise, je t'en prie.

Éric s'installa nerveux.

-Euh... Maître Leto, vous vouliez me voir ?

Ce fut la seule chose qu'il trouva à dire. Pas terrible comme engagement de la conversation.

-Oui. Fut tout ce que répondit Leto.

Euh, il avait un truc à lui dire, non ? Bon bah qu'il le dise.

-Je voulais te voir pour une raison bien précise."Abrège !" pensa Éric.

-En fait c'était surtout pour te poser une question. "Il mettait toujours autant de temps à faire ses discours !?" Celle-ci : veux-tu rejoindre notre organisation quelque peu...contre le Conseil ?

-La rébellion !? Super ! Je viens !

Le cygne noir

Le cygne noir

Maintenant Livvy ! Donc PDV Livvy Sonden

(NDA L.W. : je retrouve plus Nocturna donc se sera un peu abstrait !)

Depuis que Livvy était mariée à Quinlin, elle en était de moins en moins amoureuse. Il la laissait souvent pour compte. Il partait dans des missions sans la prévenir. Il passait beaucoup trop de temps à faire je ne sais quoi. Depuis sa nomination auprès du Conseil il était de plus en plus orgueilleux. Livvy décida un jour de visiter son bureau car c'était là qu'il s'enfermait le plus souvent. Elle vit son éclaireur posé sur la table et Livvy ne put résister à l'envie de le prendre. Il état bleu. Et le bleu est la couleur des cristaux de sauts vers ... les cités interdites ! Livvy faillit lâcher l'éclaireur de surprise. Qu'est-ce que Quinlin allait donc faire dans les cités interdites ? Techniquement, comme l'indiquaient leur nom elles étaient interdites. Donc Quinlin n'avait rien à faire dedans. Malgré tout Livvy ne résista pas à tourner le cristal vers la lumière et créer un passage lumineux. Elle hésita une seconde à y rentrer mais elle y entra.

Elle se retrouva dans une ville. Médiocre. Voilà l'adjectif qui lui venait à l'esprit. Elle était médiocre. Les "voitures" comme les appelaient les humains roulaient à tout vitesse. Les piétons marchaient dans un désordre ! Mais un désordre ! Ils se marchaient presque dessus. Puis elle vit que cette pensée n'était pas qu'une métaphore car un homme dormait sur le trottoir. L'air respirait la pollution à plein nez. Dire que les humains vivaient dedans toute la journée !

Elle marcha dans cette ville désordonnée et ses pas la menèrent vers un bâtiment blanc décoré d'une croix rouge. C'était écrit quelque chose dessus. Malheureusement, Livvy ne parlant que la langue des lumière ne put traduire. Elle entra et découvrit quelque chose, quelque chose d'assez horrible.

Elle se promenait entre les lits et voyait des patients qu'elle aurait pu soigner avec un ou deux élixirs. Le pire fut sûrement la chambre des enfants. Elle voyait ses pauvres petits anges reliés à un tas de fils. Pourtant cela ne semblait pas les inquiéter. Ils lui sourirent même lorsqu'elle passa à côté d'eux. Elle failli pleurer car elle pouvait sauver chacun de ses petits enfants avec des élixirs très simples. Malheureusement elle ne pouvait pas les aider. Les elfes ne devaient pas se mêler des affaires des humains. Livvy sortit et sauta vers chez elle. Elle ne pouvait plu supporter la vision de gens qu'elle pourrait sauver mais ne le pouvait pas. Elle reposa l'éclaireur et se jura de ne plus jamais entrer dans le bureau de Quinlin. Pourtant quand un elfe boursouflé et gavé aux froisselles lui proposa très gentiment de rejoindre une organisation rebelle, elle n'hésita pas une seconde.

Chapitre 2[]

(de L.W. à la licorne : dsl d'avoir pris autant de temps pour écrire juste ça mais maintenant c'est à toi de nous éblouir avec ton écriture !)

Bon , ça fait grave longtemps qu'il n'y a pas eu la suite à cette fanfic mais c'est chose faite maintenant ! Juste pour vous prévenir, il y a peut-être pleins de fautes à ce chapitre donc n'hésitez pas à les corriger !

Mr.Forkle

Assis dans son bureau, Gabin réfléchissait. Dès le début de sa vie, il avait subi des injustices. Il n’avait pas eu le droit d’avoir son propre prénom, il n’avait pas eu le droit de sortir de chez lui quand son frère était dehors, il n’avait même pas le droit d’avoir sa propre vie ! Il n’était qu’une moitié, quelque chose d’incomplet, de méprisé.

Tout cela avait commencé dès le troisième mois de grossesse de sa maman. Ses parents avaient alors remarqué qu’ils n’attendaient pas un bébé… mais deux ! Ils avaient vu cela comme une malédiction. Alors, pour éviter tout regard méprisant, ils avaient décidé de faire des deux futurs nouveaux-nés, une seule et même personne.

Quand les deux nourrissons poussèrent à l’unisson leurs tous premiers cris, leur tragédie commencèrent. Leurs parents les nommèrent tous les deux Gabin. Ils devaient être la même personne, ils ne devaient pas quitter la maison si l’autre était dehors et ils avaient interdiction de révéler ce secret. Gabin avait tout d’abord trouvé cela normal, même si parfois il rêvait d’une vie rien qu’à lui. Ce n’était qu’aujourd’hui qu’il avait compris que ce n’était pas normal, alors qu’il se rendait secrètement chez Maeva. Maeva était son premier amour. C’était aussi son secret. Il n’en avait parlé ni à son frère, ni à ses parents.

En se rendant dans la demeure de son aimée, il lui avoua ses sentiments pour elle… qu’elle partageait aussi ! Mais alors qu’ils s’apprêtaient à s’embrasser, Gabin se rappela que sa vie n’était pas qu’à lui et que si son jumeau n’aimait pas Maeva il ne pourrait jamais vivre son amour avec la femme qui faisait battre son cœur ! Il repoussa brutalement la jeune femme au moment où leurs lèvres s’effleuraient. Elle lui avait demandé ce qu’il se passait et Gabin lui avait raconté toute son histoire depuis le début. À la fin du récit, les yeux de Maeva étaient remplis d’effroi. Elle lui expliqua que ce qu’il vivait n’était pas quelque chose de courant et que personne à part lui ne possédait un double. Elle déclara les yeux remplis de larmes qu’elle garderait son secret mais que leur amour était impossible et que plus jamais elle ne voulait le revoir. Cependant, elle l’embrassa timidement et lui souhaita bon courage pour la suite avent de s’enfuir telle une biche effrayée.

En rentrant chez lui, Gabin était dévasté. Il avait l’impression que toute sa vie n’avait était que mensonges. Voilà pourquoi, en cette instant, il réfléchissait à sa vie. Plongé dans ses pensées, il n’entendit pas son frère arriver.

« Euh… Ça va Gabin ? demanda celui-ci en voyant son frère assis tout seul dans le noir.

Le jeune homme sursauta.

- Oh… c’est toi. Mon frère il faut que je te dise quelque chose de très important…

Gabin raconta alors tout ce que Maeva lui avait appris.

- Alors… Personne n’a un autre double dans la vie ? s’étrangla son jumeau après le récit, blanc comme un linge.

- Toute notre vie n’est qu’un mensonge ! cria Gabin. Il faut tout de suite aller voir le Conseil pour réparer cette injustice.

- Calme-toi Gabin. Si on fait cela, papa et maman pourront être exilés… Et nous ? Tu y a pensé ? Nous serons mal vus et discriminés. Non, je pense qu’il faut garder le secret. Tu resteras moi et je resterai toi pour toujours.

- C’est injuste ! cracha Gabin. Tu n’as jamais eu envie d’être une seule personne ? Pourquoi les jumeaux doivent-ils être mal vus ?

- Parce que le Cités Perdues ne sont pas parfaites, expliqua son frère. Mais on peut changer ça…

- Comment ?

- Quand on était gamin, on lisait les histoires de justiciers qui sauvaient clandestinement le monde. On pourrait faire comme eux !

- Ils s’appelaient comment, déjà ?

- Ils avaient un ordre secret, le Cygne Noir…

Juline

En ce matin de juillet, Juline Diznnee était le femme la plus heureuse des Cités Perdues : elle allait pouvoir donner la vie à un enfant. Assise dans son salon, elle se préparait mentalement à le dire à son époux. La jeune femme était angoissée même si elle savait que son conjoint serait, comme elle, fou de joie.

« Bonjour ma chérie ! la salua une voix chaleureuse derrière elle.

Juline se retourna et aperçut son mari qui venait tout juste de rentrer du travail. La Givreuse se jeta à son cou.

- Moi aussi je suis content de te revoir ! rigola Kesler. Mais quel est l’honneur de ce bonjour très affectueux ?

- Peut-on s’asseoir pour parler de cela ? demanda-t-elle, la voix tremblante.      

Kesler fronça les sourcils mais acquiesça tout de même.

- Mon chéri… Ce que j’ai à te dire n’est pas facile…

- Quelqu’un t’a importuné à cause de ton statut de mal-assortis ? la questionna le Sant-Talent avec véhémence.

- Non ! Bien sûr que non, le rassura Juline. C’est une heureuse nouvelle que j’ai à t’annoncer, quoique très stressante. Je pense que toutes les futures mères ont ressenti cela…

- Ah tant mieux ! s’exclama son époux. Attends… QUOI ?! Tu as dit « future mère » ! Ce qui veut dire que je vais devenir papa ? s’écria-t-il en comprenant ce que Juline venait de dire.

- Surprise ! répondit celle-ci. Es-tu content ?

- C’est merveilleux ! dit-il en la faisant valser dans les airs avant de lui donner un baiser. Tu verras nous aurons le plus beau bébé du monde ! Oh Juline, un bébé, un bébé ! Je suis si content de cette nouvelle !

- Je suis ravie qu’elle te plaise, dit la future mère en riant.

- Viens, pour fêter cette nouvelle, nous allons manger au restaurant ! »

Et les deux futurs parents s’en allèrent bras-dessus, bras-dessous.

Les premiers mois de grossesse de Juline se passèrent normalement. Mais, au fur et à mesure que son ventre s’arrondissait, de plus en plus de remarques étaient faites à propos du bébé qui allait naître. Certains disaient, qu’il serait Sans-Talent, d’autres disait qu’il serait laid et quelques-uns disaient même qu’il serait semblable à un animal. Juline ne pouvait faire semblant de ne pas entendre ces remarques. Elles lui fendaient le cœur. Comment tous ces elfes pouvaient juger un bébé qui n’avait rien demandé ? Comment  tous ses elfes pouvaient-ils déjà mettre une étiquette à un bébé innocent ? Et par-dessus tout, comment osaient-ils juger SON bébé ? Juline se rendait petit à petit compte que les Cités Perdues n’étaient pas parfaites. La jeune femme ne désirait en aucun cas que son futur enfant soit victime des critiques des autres elfes… C’est pourquoi, un jour, elle en parla à quelqu’un.

Juline était chez Livvy, son médecin de famille. Elle allait la voir très souvent pour savoir si sa grossesse se déroulait bien.

« Votre bébé se porte on ne peut mieux ! déclara Livvy à la fin de la visite médicale.

- J’en suis ravie ! sourit la future maman.

- Et vous Juline ? Comment vous sentez-vous ? Vous devez être éprouvée par la grossesse, non ?

- Ce n’est pas la grossesse qui m’éprouve, mais les autres ! lâcha la jeune femme.

- Que voulez-vous dire ? demanda Livvy.

Juline se mordit les lèvres. Fallait-il qu’elle parle des moqueries dont son futur enfant était déjà victime ? Elle décida de le faire. La jeune femme commença donc son récit. À la fin de l’histoire, Livvy ne paraissait nullement choquée de toutes ces déclarations.

- Vous ne paraissez pas choquée de ce que je vous ai raconté, remarqua Juline déçue.

- Je ne le suis pas car il y a trop d’injustices comme celle-ci dans les Cités Perdues. Néanmoins, je trouve que ce comportement est inadmissible ! Juline, si l’envie de parler de toutes ces choses vous viennent à l’esprit, n‘hésitez pas à venir me voir. Je suis, comme vous, contre ces discriminations.

Juline rassurée de ne pas être la seule révoltée décida de se confier à Livvy chaque fois que l’envie lui en prenait. Le médecin partageait d’ailleurs son avis. Juline et Livvy devinrent très amies.

Un jour ou la Givreuse se rendait au cabinet médical de son amie, celle-ci qui semblait très agitée lui demanda quelque chose.

- Juline, maintenant que je te connais mieux (les deux femmes se tutoyaient à présent) et que je sais que tu veux changer le monde, voudrais-tu faire parti du Cygne Noir…?

Tiergan

- Sir Tiergan, nous refusons une fois de plus d’entrer de nouveau en contact avec les humains !

Tiergan était encore une fois devant le Conseil pour une requête spéciale. Cela faisait la cinquième fois en un mois ! Tiergan savait que sa demande ne serait jamais acceptée. En effet, il voulait reprendre contact avec les humains mais tous les autres elfes pensaient que c’étaient pure folie et que les humains étaient des monstres. Tiergan pensait au contraire, que les humains étaient semblables à des enfants. Des enfants qui avaient besoin d’être guidés. Leur apprendre à aimer, à s‘unir à vivre en communauté… D’ailleurs, ces derniers siècles, ils avaient fait des progrès ! Ils commençaient  à comprendre le principe de laïcité, et presque d’égalité. L’égalité… Même dans les Cités Perdues se principe n’était pas encore compris du Conseil lui-même ! Chez les elfes, ce n’étaient pas le physique ou la couleur de peau qui créaient des inégalités, mais les talents. Si seulement un monde de vrai paix était possible…

- Sir Tiergan ? Sir Tiergan vous nous entendez ?

Tiergan revint à la réalité. À force de rêvasser, il avait oublié le Conseil et son refus de prendre des nouvelles des humains.

- Je vous entends, répondit Tiergan. Si j’ai bien compris vous refusez une fois de plus ma requête ?

- En effet. Vous ne semblez pas comprendre le danger de nous faire redécouvrir aux humains, dit le Conseillez Emery avec calme.

- Et vous, vous ne semblez pas en comprendre la nécessité ! lâcha Tiergan. Les humains ont besoin d’être guidés, pas être laisser seuls dans un monde qu’ils ne respectent pas car il n’en comprennent pas la beauté !

- Les humains sont cruels, non intelligents et pire que tout, non pacifistes, répondit le Conseiller Emery.

- Nous avons nous aussi nos lacunes, riposta Tiergan. Nous prétendons tous être égaux ce qui est faux !

- Vous délirez Tiergan ! s’exclama le Conseiller.

- Oh que non, nous…

- Taisez-vous ! l’interrompit Emery. Vous voulez tant que ça reprendre contact avec les humains ? Soit, vous n’avez qu’à vivre avec eux dans les Cités Interdites ! Mais vous perdrez tout de votre mémoire !

- Vous… m’exilez ? balbutia l’elfe.

- Non, pas pour l’instant du moins. Mais écoutez moi bien, si jamais vous refaite une requête au Conseil qui à pour but de revivre avec des humains, vous le serez. Est-ce bien clair ?

- Oui, répondit Tiergan entre ses dents.

- Parfait. Partez-maintenant, déclara Emery.

Tiergan s’en alla d’un pas rageur. Il avait été humilié. Le Conseil l’avait pris pour un imbécile ! Et tandis qu’il ruminait ses sombres pensées, il se cogna contre un homme.

- Oh, pardonnez-moi ! s’excusa-t-il.

- Écoutez monsieur, je n’ai pas beaucoup de temps pour vous parler. Sachez que cela fait un petit bout de temps que je vous observe. Moi aussi je veux changer le monde mais le Conseil est inapte à le faire. C’est pourquoi, un groupe de gens dont je fais parti s’en occupe d’en l’ombre. Voulez-vous le rejoindre ?

- Je… Monsieur… Qui ? Euh… bégaya Tiergan.

- Ce soir, 19h00 devant le Louvre des Cités Interdites.

L’homme lui remit discrètement un cristal de saut. Et il commença à partir.

- Qui êtes-vous ? dit Tiergan en l’attrapant par le bras.

L’homme se retourna.

- Qui je suis n’a aucune importance. Mais qui nous sommes en a… Nous sommes le Cygne Noir…"

Chapitre 3[]

(De Licornette à Linh.W : à toi d'écrire ma copine ! Déso y a peut-être pleins de fautes dans mon chapitre parce que j'ai eu la flemme de me relire... 😅) (L.W : bah y en a pas tant que ça ! ça va franchement doit y en avoir quelques unes mais pas beaucoup !! suite maintenant ou de temps en temps... en tout cas c'est parti pour maintenant tout de suite)

Après 4 mois à faire les petits boulots pour Forkle et d'autres, Éric venait, enfin, d'obtenir la permission de recruter !!! Il était tout content !!! Il s'était automatiquement mis au travail, il voulait prouver qu'il en était capable.

Éric se demandait pourquoi il avait demandé à Sir Tiergan de les rejoindre. Mais il était plutôt fier car il l'avait appelé "monsieur" ! Lui qui avait à peine 18 ans, être appelé monsieur par un elfe d'un certain âge, c'était un grand honneur. Bon maintenant il fallait aller au Louvre. Éric attrapa son cristal de saut ainsi que son obscurateur. Il présenta son cristal de saut bleu vers la lumière. Il sauta.

Le Louvre se trouvait juste devant lui. Il contempla ce monument titanesque de verre ressemblant tellement à Foxfire. Il regarda sa montre : 18 h 54. Il était en avance. Il décida de s'asseoir quelque part où il pourrait attendre Sir Tiergan tranquillement. Il s'assit donc sur un banc non occupé. Il attendait depuis une dizaine de minutes quand il vit un rayon lumineux presque imperceptible se poser devant lui.

Tiergan en sortit muni d'un obscurateur également. Logique il n'allait pas sauter au milieu d'humains sans rien.

Éric eut à peine le temps de remonter sa capuche sur son visage et de se rendre invisible mais en gardant son manteau visible. Bref semi-visible.

Il se rappelait parfaitement sa conversation avec Maître Leto, il y a 4 mois. Maintenant il le chargeait de certaines missions un peu plus importantes qu'avant, comme recruter.

- Pourquoi m'avez-vous demandé de venir ? demanda soudain Tiergan.

Oups c'est vrai, Tiergan.

- Voulez-vous nous aider à combattre l'incompétence du Conseil ?

- C'est sûr qu'il le sont incompétents ! grogna Tiergan.

- Je prends ça pour un oui. décida Éric. Vous savez une organisation œuvre dans l'ombre depuis très longtemps pour aider les elfes à se redresser et à combattre le Conseil, enfin pas le Conseil en lui-même mais sa façon d'agir. Cette organisation se nomme le Cygne Noir. Voulez-vous nous faire l'honneur de nous rejoindre, Sir Tiergan ? poursuivit-il.

- Je... C'est inattendu. bafouilla Tiergan. Mais c'est oui.

- Très bien. Prenez ma main. fit Éric en se levant et en lui tendant la main.

Tiergan la prit. Ils sautèrent.


(NDA importante !!! : Nous avons communément décidé de changer notre fonctionnement car écrire 3 PDV nous prenait beaucoup de temps, surtout que l'on n'y pensait pas vraiment... Donc nous allons maintenant alterner 1PDV par moi même (Marella Weasley anciennement Linh Weasley) / 1PDV par La licorne qui aimait lire.

Voilà !)

FANFICTION EN PAUSE[]

Message de Licornette :

Je suis désolée pour ceux qui la lisait mais Marella Weasley n'est plus sur Fandom et je ne sais pas si elle y reviendra un jour... Je pense aussi que la fanfic va être abandonnée... Pour plus de précisions, je vous ai laissé un message dans les commentaires !

Bisous et merci à ceux qui ont été là pour les 2 seuls chapitres postés <33


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