Wiki Parodies et Fanfictions
S'inscrire
Advertisement
Wiki Parodies et Fanfictions

Cette page est une fanfiction, élaborée par un ou plusieurs utilisateur(s) de cette communauté. Merci de ne pas la modifier, sauf autorisation de l'auteur afin de préserver les droits de ce dernier.
Les seuls motifs de modification acceptés sur cette page sont « Correction d'une faute de rédaction », « Correction d'une faute d'orthographe » ou « Modification de catégories ».

Merci de votre compréhension.

Petite note

Ces histoires est presque entièrement remplies de dialogues entre les personnages principaux.

Histoire 1. Keefe et Sophie

Sophie était assise dans le large pré d'Havenfield, à l'ombre, en pleurs. Elle était encore et toujours en train de penser à Fitz et comment il l'avait larguée sans scrupule à cause d'une stupide jalousie et d'avenir. L'héroïne arracha des touffes d'herbes compulsivement. Elle se repassa son visage, ses yeux qui la marquait depuis ses 12 ans, longtemps maintenant. Sophie entendit des pas qui venaient vers elle mais ne releva pas la tête, persuadée que c'était Grady ou Edaline qui passait.

« Sophie ? appela une voix familière. »

La jeune elfe l'aurait reconnut entre toute, cette voix, celle de Keefe.

« Je... je peux te parler ? »

Comme Sophie ne répondait pas, le jeune homme commença à s'énerver.

« J'ai fait un paqué de chemin pour venir te voir, alors la politesse serait de me regarder ou de me répondre ! »

La jeune fille sécha ses larmes d'un revers de la main et posa enfin ses yeux rougis sur Keefe. Celui-ci eu un mouvement de recul en la voyant ainsi, cheveux en bataille, l'air malade.

« Foster ?! Que se passe-t-il ?? »

A ces mots, elle se remit à pleurer. Paniqué, Keefe s'agenouilla à ses côtés, lui prent les mains et la regarde avec tellement de tendresse que Sophie avait envie d'éclater de rire.

« Je peux partir si tu veux... murmura la jeune homme.

- Non, reste, répondit Sophie. J'ai besoin de compagnie. »

Alors Keefe s'assit aussi, tendit la main pour sécher les larmes de son amie et Sophie posa la tête sur son épaule. Ils restèrent quelques minutes comme ça, en silence. Que Keefe brisa en demandant :

« Tu pleurs à cause de Fitz, je me trompe ?

- Oui, chuchota Sophie en se redressant.

- Laisse tomber, lui conseilla son ami. Il n'en veut pas la peine. Tu es trop bien pour lui.

- Tu crois que ce n'est pas ce que j'essaye de faire ? s'indigna l'héroïne.

- Je dis juste que je ne reconnais pas la Foster que je connaissais, répondit simplement l'autre.

- Ah oui ? Et qu'aurait fait la Sophie que tu connaissais ? demanda-t-elle. Elle serait aller voir Fitz pour lui casser le visage ?

- Non, s'esclaffa le jeune homme. Mais c'est une option ! »

Sophie se surprit à rire, elle aussi. Être avec Keefe lui faisait du bien. Il lui avait toujours fait du bien.

« Alors ? s'impatienta-t-elle. J'attends ta réponse !

- La Foster que je connaissais n'aurait pas laisser la douleur l'emporter, non, elle se serait redresser et aurait fait comme si de rien n'était arrivé.

- Je... je n'en suis plus capable.

- J'ai bien remarqué ! s'exclama Keefe. Bon, je vais te laisser à ton désespoir. »

Il fit mine de se lever mais Sophie le retint d'une main.

« T'avais pas quelque chose à me dire ?

- Ca peut attendre, s'empressa de dire son ami.

- Non je suis curieuse, je veux savoir, insista Sophie.

- Très bien... »

Il resta debout un petit temps et puis soudain, il se jeta sur l'héroïne blonde pour l'embrasser. L'adolescente lui rendit son baiser quelques secondes avant de s'écarter. Keefe arrêta lui aussi, l'air sonné.

« Je suis... je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit ! gémit le coupable.

- Keefe... murmura Sophie en lui prenant la main. Ne t'excuse pas ! Je... je n'aurais pas dut t'embrasser à mon tour. »

Tous deux rougirent puis Keefe se rassit, l'air à la fois perdu et heureux.

« J'ai embrassé Sophie Foster... chuchota le jeune elfe, l'air heureux. Maintenant, écoute moi, je vais t'expliquer la raison de ma venu :

La première fois que je t'ai vu, j'ai su que j'allais être amoureux de toi - je ne suis pas insensible au charme - et c'est ce qui s'est passé. Je n'ai jamais arrêter de l'être, mais quand j'ai compris que tu aimais Fitz. J'avoue avoir été jaloux quand tu t'ai mis en couple avec lui mais je ne t'ai pas jugé. Je te le dis en deux mots Fotser : je t'aime. Tu es ma raison de vivre, tu comprends ? »

Malgré elle, Sophie éclata de rire. Elle n'en croyait pas ses oreilles ! Keefe, son meilleur ami, amoureux d'elle ? Cela voulait dire que... plus aucun de ses plus proches amis garçons ne l'aimait d'amitié ?(Fitz, Dex et Keefe) Ça commençait à faire beaucoup !

« Hé ! Te moque pas...

- Jamais je ne me moquerais de toi. Mais je crois que tu es au courant que je ne t'aime pas. Je suis désolée...

- Pas grave. L'important est que j'espère que je resterai l'ami de ma partenaire de punitions !

- Oh ! Espèce de bête ! Bien sûre que tu le resteras ! Je suis toujours amie avec Dex et avec...

- Fitz ? J'ai cru comprendre le contraire.

- Non, c'est vrai, je ne suis plus ni sa petite amie, ni son amie.

- Bon, je dois y aller, à plus, Foster... »

Il l'embrassa très brièvement sur le front avec de tendre son luminateur vers le ciel et de disparaître, laissant l'adolescente seule...


Histoire 2. Grady et Edaline

Depuis quelques jours (enfaite, depuis que Sophie avait appris que ses tuteurs avaient refusés la demande d'adoption), Edaline vivait dans un brouillard. Elle ne mangeait plus, ne dormait plus. L'elfe avait l'impression de revivre la mort de Jolie. Sauf que Sophie était bien vivante... mais ça ne changeait rien. Grady aussi semblait mal en point mais c'était l'état de la jeune fille qui l'inquiétait : elle ne leur parlait plus et restait dans sa chambre, à faire des trucs que son mari et elle ignorait. Chaque matin, Edaline souffrait un peu plus. A présent, elle regrette presque leur décision mais le mal était fait, Sophie était fâchée contre eux et rien ne pouvait y faire. Soudain, la porte de la chambre où le couple dormait (et où Edaline se reposait) s'ouvrit. Son mari entra, la mine sombre et partiellement fâché et s'assit sur le lit sans aucun commentaire.

« Comment va-t-elle ? s'inquiéta sa femme, qui s'avait que son mari était aller voir comment aller Sophie.

- Comme hier, soupira Grady. Elle refuse de me laisser entrer et pleure tout le temps.

- Oh, chéri... avons-nous bien fait ? s'inquit Edaline. »

Son mari détourna les yeux et s'a en dit plus long qu'un long discours.

« J'ai entendu que les Vackers voulaient l'adopter. C'est une bonne nouvelle, non ? annonça Grady.

- Une bonne nouvelle ?? explosa Edaline. Mais, enfin ! Ils ont déjà trois enfants talentueux, pas besoins d'ajouter sur le dos une prodige ! Non, tout le temps que je serais en vie, Sophie sera ma fille !

- Enfin, Edaline... nous avons annulée la demande... Sophie est donc libre de partir, la résonna son mari. Tu ne peux lui demander de rester.



Advertisement