Wiki Parodies et Fanfictions
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<Cette fanfiction a été marquée comme abandonnée pour cause de l'inactivité de son auteur ou sur sa demande. En cas d'inactivité, son auteur peut tout à fait, s'il revient sur le wiki, la reprendre et devra modifier les catégories en conséquence.

Back To Origins : Tome I[]

Submersion[]


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(abandonnée. Je l'avais oubliée mdr. Si quelqu'un la veut... Eh bien c'est moi, Park.Song qui l'ait écrite...)


Résumé court :

Vous êtes un/e elfe tout à fait ordinaire, du même âge que Sophie.

Alors que vous souhaitiez boire un verre en Atlantide pour vous changer les idées, vous remarquez un étrange elfe qui semble vous observer avec un intérêt mesuré. Vous lui demandez une explication et il vous propose d’écouter une histoire. Son histoire. Leur histoire. l’Histoire, tout simplement. À l’abri dans une cache, les souvenirs d’une voyageuse d’il y a cinq mille ans arrivée par accident dans cet univers qui sauva un monde qui n’était pas le sien.

Un passé qui ne fut pas partagé par les Anciens.

Et pourtant si important, compte tenu des récents événements.

Vous seul partagez avec cet homme la vérité.

Mais êtes vous vraiment prêt à la connaitre ?

Allez-vous supporter le poids du monde qui pèsera sur vos frêles épaules ?

Cela, seuls les Douze le savent.


D’où vient le Cygne Noir ?

Et les Invisibles ?

Quelle vestige l’Atlantide nous dissimule-t-elle ?

Pour quelle raison est-elle réellement submergée ?

Qu’a fait Vespéra ?

Pourquoi les autres espèces ont autrefois craint elfes ?

Quelle était la fonction d’Oblivimyre ?

Qu’est ce qui poussa les trois premiers Conseillers à démissionner ?

Vous allez vite le savoir…

Prémonition[]

 « Nous n’avons plus le choix,

        Il va falloir tout détruire.

La survie de notre peuple

est primordiale.

Alors…

Peut-on s’en remettre à vous pour les sauver ? »

Les paroles des Conseillers, prononcées quelques minutes plus tôt, résonnaient encore dans les oreilles de la voyageuse alors qu’elle sentait le paysage tourbillonner autour d’elle, à mesure que les Douze l’imprégnaient de leurs pouvoirs. Elle serra très fort la poignée de son épée, et, entourée d’une aura flamboyante, la leva au-dessus de sa tête et l’abattit de toutes ses forces, dans le sol de l’Atlantide.

« Il est temps de nous dire au revoir, voyageuse.

Lorsque le Tout sera submergé,

Nous nous retrouverons à la surface,

Les doutes effacés.

L’épine dans notre passé enfin disparaitra.

Et le Monde redeviendra

La parfaite rose qu’Il dessina.

« Je ne sombrerai pas ! ; songea-t-elle, déterminée, Pas cette fois. Plus jamais je n’échouerai ni ne m’échouerai. »

« Qu’elle se déchaîne ! ; ordonna-t-elle. Que la puissance des Douze détruisent le Tout ! »

Prologue "l'Ancien"[]


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PDV : lecteur

Un homme buvait, tout en vous dévisageant, un verre de vin de pétillante dans une taverne en Atlantide. Ses bijoux peu communs, son capuchon brun, ses yeux sombres empreint d’une sagesse millénaire, son allure de personnalité étrangère… ;  tout chez lui vous interpelle.

Curieux/se, vous vous joigniez à sa table et commandez un verre de jus de baie violette. Vous vous attendiez à être chassé/e mais il semble sourire sous sa capuche. Vous lui demandez ce qu’il y a de drôle.

« Ce qui me réjouit ? ; répondit-il. Mais c’est que vous m’ayez rejoint pour boire un verre, pardi. Cela signifie que vous voulez bien m’écouter. (Il observe du coin de l’oeil la vitre donnant sur la Cité plongée dans l’obscurité quasi-totale. Vous suivez son regard et remarquez qu’il regarde le drap qui recouvre la Statue de l’Unité.) Je trouve dommage que cette histoire se soit terminée ainsi. »

Vous lui demandez pourquoi.

« Pourquoi ? ; répéta-t-il, songeur. Je ne pense pas que Nocturna est un livre qu’on peut fermer aussi facilement et ranger dans la bibliothèque, avec tous les autres. »

Vous le priez de vous en dire plus.

Une ombre passe sur son visage, et ses yeux sombres semblent habités d’une tristesse infinie. Comme si une blessure n’avait toujours pas réussi à guérir dans son coeur.

« Je sais que je n’en ai pas l’air, vu que je n’ai pas les oreilles pointues, mais je suis un Ancien. J’étais présent quand la guerre contre les humains a failli éclater. C’était il y a plus de cinq-mille ans maintenant. Mais je m’en souviendrai toujours. Jamais je n’oublierai cette aventure, plus trépidante que tout ce qui se passe ces temps-ci. »

Lassé/e des derniers événements et de cette pseudo-guerre entre groupes rebelles, vous êtes vivement intéressé/e par cette histoire, qui serait un bon sujet de conversation pour Foxfire.

Vous lui demandez si c’est une histoire qui fait peur.

Il répond qu’elle contient son lot d’horreurs. Devant votre air réjouit, il s’esclaffe.

« Vous voulez la raconter à des gens pour les effrayer, c’est ça ? »

Avide de frissons, vous répondez par l’affirmative.

Il repart dans un éclat de rire.

« Vous êtes sadique, dit-il avec un sourire amusé. »

Vous lui rendez son sourire.

« Très bien. Déclara-t-il. Vous me semblez digne de confiance, et je commence à bien vous appréciez : comme la vieillesse sait apprécier la jeunesse. Prêt/e ? »

Nouveau hochement de tête de votre part.

« D’accord…(il claqua des doigts pour congédier une cache qui apparu dans sa paume présentée devant lui.) Ce n’est pas la mienne, précisa-t-il. Elle appartient à quelqu’un d’autre, une voyageuse, c’est elle qui nous à sauver. Oh, bien sûr elle était très accompagnée, mais elle a fait le plus gros du travail. Juste avant de disparaitre des mémoires, elle m’a offert cette copie de sa cache, afin que tous deux partagions jusqu’à la tombe le secret d’une partie de  vie, celle que nous avons mené ensemble. »

Alors qu’il entreprend de déverrouiller la cache, vous êtes très pressé/e de connaitre cette « voyageuse » et de comprendre comment elle avait pu sauver les elfes.

Peut-être trouveriez vous une solution en observant le passé ?

Que le passé te serve de guide.

« La cache est prête. Déclara dans un murmure l’Ancien, en la posant sur un socle au milieu de la table, comme une boule de cristal. »

Vous vous penchez en avant pour mieux voir.

La submersion peut commencer.

Chapitre 1 "Naissance au Lac de Cidre"[]


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Il y a cinq mille ans, naissance de la première et dernière elfe au sang croisé.

C’était l’une des dernières soirées chaudes de l’été, l’une de celles qui précédaient l’automne.

Une humaine avait été poursuivie par son peuple en colère, qui n’approuvait pas une liaison avec un elfe, espèce ennemie des Hommes. Heureusement très jeune et dans la force de l’âge, elle parvint à fuir à cheval.

Avec la certitude que personne ne la retrouverait avant plusieurs jours, elle donna naissance lors du crépuscule, sur la rive sud du Lac de Cidre.

C’est de là que vint le nom de son enfant, Morwen, une ravissante petite fille.

« Morwen, jeune fille née au bord d’un lac au crépuscule. Avait susurré la mère en berçant son enfant. Tes yeux sont pareils à la couleur de l’eau… ils me rappellent tant les siens…»

Mais humains et elfes n’étaient pas fait pour s’unir, comme la jeune femme en fit l’amère expérience : deux semaines après avoir donné la vie, elle trouva la mort, détruite par l’étrange aura de l’elfe qu’elle avait aimé.

Fort heureusement, un alchimiste elfe qui étudiait les propriétés du Lac de Cidre entendit les pleurs de l’enfant, toujours dans les bras de sa mère, bien que déjà deux jours s’étaient écoulés depuis sa mort.

« La pauvre malchanceuse… avait soupiré l’alchimiste, en observant avec pitié et répulsion le corps mort de la jeune femme. Et cet enfant ! Ah, ces humains ! »

Aux cris de l’elfe, la fillette agita les paupières, avant d’ouvrir grand ses yeux, mélange de brun et de bleu.

Échange fugace.

Échange merveilleux.

Nul besoin de mots face à ses regards là.

L’Alchimiste caressa la joue ronde du bébé, avant de demander :

« Comment devrais-je l’appeler ? »

Et à sa grande surprise, alors qu’il pensait voir une humaine sous ses yeux, il obtenu une réponse. Une réponse en Langue des Lumières.

« Je m’appelle Morwen, dit-elle, car je suis née à la rive d’un lac au crépuscule.

- Morwen… répéta l’elfe. Tu vas…venir avec moi. »

Il décida de rentrer au port d’Atlantis, certain de trouver des parents pour l'enfant.

Mais il eut tort.

Tous reconnurent parfaitement le bébé, portrait craché de son père. Et tous connaissaient l’histoire de la bâtarde au sang croisé.

L’Alchimiste, dont le vrai nom est don Esteban Pyren, n’eut plus vraiment le choix.

Il rentra chez lui et déposa l’enfant dans un berceau fait d’or, à côté d’un petit garçon au corps brûlant - son fils.

« À partir d’aujourd’hui, tu seras ma fille, Morwen. Peu importe ton sang, peu importe qui est ton père, peu importe l’avis des autres, je t’aimerai, toujours. »

En voyant Morwen se blottir contre son fils, et ce dernier l’accueillir dans ses petits bras potelés, il sourit. Son cœur se transforma en artichaut devant cette scène adorable.

Il dégagea une des courtes mèches blondes du front du petit garçon, âgé de 8 mois.

« On dirait que Fintan l’a déjà accueillie…et qu’elle l’a accepté comme grand frère… ; remarqua-t-il en riant tout seul. Ces deux là vont s’entendre à merveille. »

13 ans plus tard…

« Tu vas voir l’allumeuse ! ; menaça Morwen, en poursuivant à travers les rues du Port d’Atlantis, son frère, Fintan. Si je t’attrape... !»

Chapitre 2[]


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